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« Le livre de l’intranquilité » de Fernando Pessoa vu par Chema Madoz.
쉐마마도즈 의 시각으로 본, 페르난도페소아 의 『불안의 서』
Chema Madoz a commencé la photographie dans les années 1980, à la sortie de Beaux Arts de Madrid.
마도즈 가 사진 시작한건 1980년대, 마드리드 순수예술학교를 나와서.
Il réalise des natures mortes en proposant, à partir d’objets banals, une mise en abîme surréaliste, loufoque et poétique.
정물 표현을 할때 일상적 오브제를 궁극의 초현실적인 상태로, 괴이하고도 시적으로.
Chema Madoz, est un des artistes invités au projet #100romans
-쉐마마도즈는 (프랑스 신문사 르몽드가 선정한) 100권의 소설 프로젝트 초대 사진작가 중 한 명
(아래는 그 프로젝트에 대한 신문사의 이런저런 설명 혹은 자체홍보라 생략)


D’Albert Cohen à Umberto Eco, de Marguerite Duras à Philip Roth, « Le Monde » partage soixante-quinze ans d’amour pour la littérature.
Le démon de toute liste s’appelle arbitraire. Plutôt que de l’exorciser, mieux vaut le reconnaître d’emblée :  la liste des #100romans  ne prétend pas dresser un palmarès objectif, ni un panorama représentatif de la littérature depuis 1944, date à laquelle Le Monde est né.
Plus modestement, elle reflète quelques moments d’une histoire fondatrice, puisque notre journal célèbre les livres depuis l’origine. Cette histoire, c’est l’aventure du Monde et de ses plumes à travers la littérature de ces sept dernières décennies. Aventure forcément subjective, emportée par une foule de sentiments humains, curiosité, admiration, ferveur, bien sûr, mais aussi agacement, ennui ou flemme…
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photographie : @chemamadozphotographer #PourLeMonde/ @galerieesther
#100romans #art #litterature
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